Bien planté à une vingtaine de mètres du rivage, ce grand arbre esseulé semblait apprécier tout comme le jeune garçon, la douceur d’un petit bain en fin de journée. Étrangement éloigné du rivage, j’y voyais tout d’abord le problème de la montée des océans. Puis je découvrais plus loin une forêt d’immenses palétuviers qui eux aussi se régalaient les pieds dans l’eau.
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