Près de la plage de Popenguine, le petit cheval blanc rumine son ennui dans sa cage dorée. Il rêve de galops dans l’écume des vagues. Mais il sait aussi que bientôt le temps viendra où il ira, libre et gaillard, sur les grèves marines.
Très onirique… un peu surréaliste. J’adore. On se croirait dans Arizona Dream…
Jean-Pierre Devals
18 April 2020 at 21 h 12 min
Le lieu avait effectivement un côté surréaliste : une étroite bande de sable coincée entre le village et la mer avec cette ancienne véranda qui s’ouvrait sur la plage et que les vagues ont peu à peu délabrée (comme plusieurs autres maisons du bord de mer) et à l’intérieur ce cheval blanc dont on se demande pourquoi il est là !
2 Commentaires
Charlotte
Très onirique… un peu surréaliste. J’adore. On se croirait dans Arizona Dream…
Jean-Pierre Devals
Le lieu avait effectivement un côté surréaliste : une étroite bande de sable coincée entre le village et la mer avec cette ancienne véranda qui s’ouvrait sur la plage et que les vagues ont peu à peu délabrée (comme plusieurs autres maisons du bord de mer) et à l’intérieur ce cheval blanc dont on se demande pourquoi il est là !
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