À Bamako, sur les berges du fleuve Niger appelé ici « Djoliba », poussent de hautes herbes ; coupées et liées en grandes gerbes, elles iront ombrager les terrasses des quartiers aisés de la capitale.
Regroupées en alignements étranges, elles semblent prêtes pour une dernière danse des masques.
Image d’après un tirage argentique en noir et blanc sur papier RC.
Laisser un commentaire
S'abonner au blog