Le ciel s’obscurcit, le tonnerre gronde. Seuls quelques individus demeurent sur le quai partagés entre fascination et crainte, la beauté du spectacle étant souvent proportionnelle à l’ampleur des frissons éprouvés.
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Commentaire *
Nom *
E-mail *
Site web
Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
Δ
Inscrivez votre adresse mail pour être averti·e lors de la publication de nouveaux articles.
Votre adresse mail
S'abonner
Laisser un commentaire
S'abonner au blog