L’été fut long et torride ; pompes, arroseurs et asperseurs s’essoufflèrent parmi les immensités des champs de maïs, asséchant les rares réserves d’eau encore disponibles.
Puis vint le temps espéré des orages. Et avec eux la peur que les pluies torrentielles ne dévastent ces sols érodés par des années de cultures intensives.
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