Le ciel s’obscurcit, le tonnerre gronde. Seuls quelques individus demeurent sur le quai partagés entre fascination et crainte, la beauté du spectacle étant souvent proportionnelle à l’ampleur des frissons éprouvés.
Le ciel s’obscurcit, le tonnerre gronde. Seuls quelques individus demeurent sur le quai partagés entre fascination et crainte, la beauté du spectacle étant souvent proportionnelle à l’ampleur des frissons éprouvés.
À la recherche d’un cordonnier, je poussais la porte d’une petite boutique. Le réparateur de savates était bien là. Sur le mur intérieur, quelqu’un avait joliment fait cohabiter indiens et Santiag.
Près de la plage de Popenguine, le petit cheval blanc rumine son ennui dans sa cage dorée. Il rêve de galops dans l’écume des vagues. Mais il sait aussi que bientôt le temps viendra où il ira, libre et gaillard, […]
Contre la cabane en bois, bien à l’abri, le divan invite le promeneur, non à une séance de psychanalyse mais à une pause sinon à une sieste. Bien confortablement installé et sans doute en bonne compagnie, il pourra y admirer […]