Sous les drapés blancs, elle allait, fuyante, dans les ruelles de la médina. Mon ami marocain la reconnut à son seul regard. Après quelques paroles, elle nous invita dans sa maison familiale.
À l’intérieur, elle ôta son haïk ; le sourire qu’elle arbora, sa tenue légère et son affabilité me surprirent. Sa coquetterie tranchait heureusement avec la rigueur de ses vêtements de rue.
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