La voie ferrée serpente dans la vallée, glisse au ras des talus, s’insinue dans la forêt puis se déroule dans la plaine ; dans le train, le regard fasciné du voyageur, grisé de vitesse et d’images, entrevoit seulement des chapelets d’arcades. Seul le voyageur immobile peut en admirer les courbes.
Quel bel ouvrage ! Ce serpent de pierre bien que robuste et ayant vocation à l’être est comme allégé par le temps qui le fait danser. Merci pour ce petit voyage immobile .
2 Commentaires
ermeline
Quel bel ouvrage ! Ce serpent de pierre bien que robuste et ayant vocation à l’être est comme allégé par le temps qui le fait danser. Merci pour ce petit voyage immobile .
Jean-Pierre Devals
À bientôt pour d’autres voyages
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