Il est encore tôt, il fait encore frais, les pales restent immobiles. Mais que la chaleur survienne, que quelqu’un tire sur la cordelette et le voilà lancé, insufflant une brise bienfaitrice tout autour de lui pour le plus grand plaisir des demoiselles du calendrier, des danseuses qui redoublent de grâce et du grand-père qui, dans son cadre, semble se ranimer.
Commentaires
Catherine
je te remercie Jean-Pierre pour ces bouffées de légèreté tellement bienvenues
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